Dieumerci Mbokani: «Je veux partir d’ici le plus vite possible»

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Nous sommes allés à la rencontre de Dieumerci Mbokani, aujourd’hui au Dynamo Kiev. L’ancien attaquant du Standard et Anderlecht a fait part de son envie de quitter l’Ukraine le plus vite, s’avouant « mal dans sa peau » dans la capitale ukrainienne. Il pointe notamment l’éloignement de ses proches, toujours à Bruxelles, mais également la situation politique du pays. Entretien.

L’hôtel Interalpen de Telfs. Un palace situé tout en haut d’une montagne. Quand vous passez le portique, vous avez encore 1,5 km à travers pinèdes avant d’arriver au lobby. Le parking, tout en dorures, donne le ton. Revenu de l’entraînement, Dieumerci Mbokani se joint à nous. Il quitte sa chambre à 300 euros la nuit, au premier étage. « Mais Sergei Rebrov, le coach, est au dernier étage », rigole-t-il. Même si l’esprit d’équipe n’est pas le point fort du Dynamo, on voit que ses coéquipiers l’apprécient. « Please don’t go », lui lance d’ailleurs l’un d’entre-eux…

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