« C’était devenu compliqué pour moi au Standard »

Administrateur de Lampiris dont il est le co-fondateur, Bruno Venanzi avait été nommé par Roland Duchâtelet en tant que vice-président en novembre 2014. Cet homme d’affaires liégeois, la quarantaine, avait déjà tenté de racheter le Standard en 2011. Il reprend, seul, les parts de Roland Duchâtelet pour diriger le Standard de Liège.

Roland Duchâtelet était arrivé en juin 2011 rachetant le Standard pour 41 millions d’euros. Aucun montant n’a été divulgué sur l’opération de rachat.

« La solution idéale pour le club »
Duchâtelet: « Il me reste 350 semaines à vivre en bonne santé. Pour moi, la qualité de ma vie et mon bonheur personnel jouent un rôle prépondérant. J’ai senti que c’était devenu compliqué au Standard pour moi. Egalement pour beaucoup de supporters qui n’ont pas reconnu le leader qu’ils voulaient. Il fallait que je trouve une solution pour moi et le Standard. Donc aujourd’hui, je me réjouis d’avoir pu trouver la solution idéale pour le club. »

« Il sera entre les mains d’une personne dans laquelle je crois totalement. Une personne, comme Bruno, pour diriger ce club que j’aime. Je suis désormais confiant pour l’avenir, avec quelqu’un qui a la vision, la poigne pour un job plus que compliqué. Je souhaite bonne chance à Bruno Venanzi », a déclaré Duchâtelet.

« L’essentiel est que le club se retrouve entre de bonnes mains. Dans la vie, il y a des choses qui se passent. Je vais rester dans le football. J’ai encore d’autres clubs. »