Edmilson Jr: « Le Top 6? On a 8 chances sur 10 »

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Edmilson Junior veut encore croire en une qualification pour les prochains playoffs 1.

Lorsqu’il a parfaitement repris le centre de Matthieu Dossevi, Edmilson Junior s’est immédiatement précipité vers les deux bancs de touche en tapant sur le blason du Standard. Il a, dans un premier temps, fixé les réservistes trudonnaires, pour un petit peu les narguer, avant de fêter ça avec ses équipiers liégeois. « Quand j’ai signé mon contrat à Sclessin, j’ai reçu une tonne d’insultes. On m’a traité de fils de p…, de judas. Je voulais simplement montrer que j’étais heureux d’être un Standardman. Les supporters m’ont également sifflé mais franchement, ça ne m’a pas touché », disait-il.

Et il n’en est pas resté là, continuant à distribuer les attaques sur le club qui lui a pourtant permis de rebondir lorsqu’il a quitté le Standard.

« Mais je ne dois rien à ce club, c’est grâce à Yannick Ferrera que j’en suis là. Saint-Trond n’a eu que deux occasions face à nous et a bien profité de deux erreurs défensives. Mais les Trudonnaires n’ont pas joué au football, ils se sont contentés de balancer de longs ballons vers l’avant », poursuivait-il, avant d’évoquer Mamadou Bagayoko, son adversaire direct, qui ne l’a pas ménagé tout au long des nonante minutes. « C’est son jeu. Mais ce n’est pas un ami. À Saint-Trond, seuls William Dutoit, Yvan Erichot et Faycal Rherras sont mes amis. C’est vrai que William a fait deux arrêts mais les ballons venaient sur lui. Je ne pense pas que ce soit l’homme du match. « 

Il l’a promis, il versera bien les trois cents euros en jeu avec ses trois potes. Mais il va surtout profiter de la semaine sans match qui se profile pour se reposer, lui qui commence tout doucement à puiser dans ses réserves.

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