Scholz : « Le chemin est encore long »

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Arrivé pour un peu plus de 2,5 millions€ en provenance de Lokeren, Alexander Scholz a réussi ses débuts avec le Standard. Et veut monter en puissance jusqu’aux play-off.

Arrivé à Sclessin le 20 janvier, après le stage hivernal, Alexander Scholz a connu un premier mois pour le moins mouvementé. Un clasico sulfureux remporté contre Anderlecht, le départ de celui qui l’avait convaincu de venir, remplacé par José Riga, et, maintenant, un cadre du vestiaire qui veut forcer son transfert: le Danois de 22 ans n’a pas eu le temps de s’ennuyer.

Reste que, sur le terrain, tout roule. «Aussi longtemps qu’on gagne, je garderai le sourire, expliquait-il, hier. J’ai pu jouer dès que je suis arrivé, je n’ai donc pas eu à me soucier de mon adaptation. Et ça a donné trois victoires, avec deux ‘clean sheet’. C’est toujours facile d’arriver dans une équipe quand elle tourne bien, mis à part ce qui se déroule en dehors du terrain.»

Le plus gros transfert de l’ère Duchâtelet, signé pour un peu plus de 2,5 millions€, sait qu’il génère des attentes. «Oui, je sens cette pression, mais cela me plaît, ce n’est pas négatif. C’est comme la concurrence, j’aime cela. Je me réjouis d’ailleurs du retour de Teixeira», explique-t-il, assurant n’avoir «aucune certitude» d’être titulaire contrairement à ce qui avait été dit après qu’il ait finalement opté pour le Standard, plutôt qu’Anderlecht.

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