Le Standard n’ira pas en appel du huis clos avec sursis

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Le Standard a fait savoir ce jeudi qu’il n’irait pas en appel de la sanction de la Commission des litiges, qui lui avait infligé un match à huis clos avec sursis pour la banderole visant Defour. Mais les Rouches grincent des dents…

Le Standard a annoncé ce jeudi après-midi accepter la sanction prononcée mardi par la Commission des Litiges, à savoir un match à huis clos avec sursis et 5 000€ d’amende. Il n’y aura donc pas d’appel de la part des Rouches, ce qui ne veut pas dire qu’il y a accord avec la décision survenue pour sanctionner la fameuse banderole déployée en T3 lors de Standard-Anderlecht, qui présentait la tête de Defour «sabrée». Le club de Roland Duchâtelet a d’ailleurs tenu à insister sur ce point via un communiqué, comme il en a l’habitude. Le Standard a ainsi affirmé son désaccord avec l’idée selon laquelle «un match à bureaux fermés» soit une sanction appropriée «au comportement de quelques personnes».

«Une absence d’équité dans les démarches du Parquet»

Par ailleurs, le club liégeois a réaffirmé, combien, à ses yeux, l’Union belge a usé d’une «méthode exceptionnelle et non réglementaire […] dans cette affaire pour activer les poursuites à son encontre. Dans cette même optique, (le Standard) ne peut que s’étonner de l’absence d’équité dans les démarches prises par le Parquet…» Et le Standard de citer le cas du Lierse, qui pour des faits, à ses yeux similaires, se voit «proposer une proposition de transaction très différente». Bref, les Rouches restent circonspects, mais n’iront pas plus loin.

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