Thuram, à son tour, critiqué

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Comme Eiji Kawashima avant lui, le Français est pointé du doigt.

Lors de la saison 2012-2013, Eiji Kawashima a essuyé un flot incessant de critiques. Arrivé en provenance du Lierse, le Japonais devait succéder à une icône à Sclessin : Sinan Bolat.

Pire, le Japonais devait même faire face au retour du Turc en deuxième partie de saison et à la pression des fans qui réclamaient sa titularisation jusqu’à ce que Roland Duchâtelet ne décide que Bolat ne jouerait plus pour le Standard avant la fin de la saison.

Après avoir été sifflé par ses propres supporters, le gardien de l’équipe nationale du Japon s’est remis en question et a fait preuve d’une grande régularité la saison dernière. Sans ses nombreuses interventions, le Standard n’aurait pas lutté pour le titre jusqu’à la dernière journée.

Cette saison, le Japonais est retombé dans ses travers; le changement de coach lui a été fatal. Sur le banc depuis le 23 octobre, Kawashima a assisté à la résurrection de Yohann Thuram. Pour ses quatre premières rencontres en tant que titulaire, le Français a stoppé l’hémorragie en conservant ses filets inviolés.

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