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Preud’homme, parti dépité avant la fin du match : « On fait ce qu’on peut avec ce qu’on a »

Anderlecht a arraché un précieux succès à domicile face au Standard (2-1) ce dimanche soir grâce à un but dans les arrêts de jeu de son jeune défenseur gambien Bubacarr Sanneh. Une reprise de la tête sur coup de coin qui a désolé Michel Preud’homme. Sans attendre le coup de sifflet final, le coach des Rouches est directement rentré au vestiaire la tête basse.

« Malheureusement, l’aspect physique nous empêche d’aller au bout des actions en deuxième mi-temps, a analysé quelques minutes plus tard l’entraîneur du Standard au micro de la RTBF. On subit une pression, et on encaisse sur deux phases arrêtées. C’est un problème de fraîcheur, ce qu’on a bien fait en première mi-temps, on n’a plus su le faire à la fin du match. J’insiste auprès de l’équipe pour qu’on puisse tenir notre niveau pendant 90 ou 95 minutes, mais on n’y arrive pas encore. C’est un problème qu’on n’arrive pas encore à résoudre, mais ça prend du temps. On fait ce qu’on peut avec ce qu’on a. On a un noyau à disposition, et on essaie de faire le maximum et de s’améliorer à plusieurs points de vue. On a fait un très bon match pendant les trois quarts de la rencontre, mais eux ont pu amener d’autres joueurs sur le terrain que nous. »

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One thought on “Preud’homme, parti dépité avant la fin du match : « On fait ce qu’on peut avec ce qu’on a »

  1. Le noyau est très étoffé mais a été mal préparé, de plus le style de jeu lent avec trop de passes est très peu efficace, où est le jeu direct que MPH proposait lorsqu’il a été champion avec les rouches, il parlait alors tout le temps de verticalité, maintenant on est passé à la latéralité. Avec un jeu vertical le Standard aurait pu profiter des nombreuses possibilités de contre offertes par un anderlecht qui n’était nulle part jusqu’au but de Santini, mais non on gelait la balle et on tergiversait comme du temps de l’autre Ferrera et de Jankovic.

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