Olivier Renard: « Avec Van Buyten, on bosse dans la confiance »

Publié le 19 mai 2016 | Par webmaster

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C’est au tour d’Olivier Renard de tordre le cou aux rumeurs.

« Avec Daniel, on a les mêmes valeurs. On sait dans quelle direction on veut aller et je serais fou de me passer de son expertise. »

C’est dans ces termes qu’Olivier Renard évoquait Daniel Van Buyten dans une interview qu’il nous avait accordée le 16 avril dernier. Aujourd’hui, alors que son compère et ami, Daniel Van Buyten, essuie un flot de critiques, le directeur sportif tient à rétablir certaines vérités. « Je l’ai déjà dit, je suis venu pour Daniel, ce qui ne fait pourtant pas de moi un homme de Van Buyten. Je crois tout simplement en sa vision et en en notre but qui est de faire du mieux possible pour le club. »

Quant aux critiques qui s’abattent sur la direction, Van Buyten en tête, Olivier Renard préfère en sourire. « C’est la trêve et il faut bien remplir les journaux… Il est donc plus aisé de se tourner vers des clubs qui ont rencontré des difficultés cette saison. Mais je peux vous assurer qu’entre nous, on en rit car on sait où on veut aller. »

Olivier Renard tient ensuite à tordre le cou à une rumeur voulant qu’il prenne ses distances avec l’ancien défenseur du Bayern. « Daniel et moi, on travaille dans la confiance et non dans la méfiance. Si certaines personnes ont envie de nous déstabiliser, c’est peine perdue. On a une confiance aveugle l’un envers l’autre. Le réel problème avec ces allégations, c’est que les supporters puissent penser qu’il y a des gros problèmes entre nous alors que c’est faux. On avance dans notre programme en respectant la ligne de conduite qu’on a déterminé tous ensemble. Quand on lit que Daniel a voulu démissionner, franchement, on en rigole. On sait qu’on travaille d’arrache-pied pour être encore plus fort. »

Enfin, Olivier Renard confirme que Van Buyten ne travaille pas seul dans son coin. « Pour ce qui est du recrutement, je suis directeur sportif et je prends les décisions, mais elles sont analysées de manière collégiale. Honnêtement, je préfère lire que Daniel la joue en solo plutôt que de le subir. »