Vous êtes ici
Home >> Walfoot >> Du déjà (trop) vu pour le Standard : “Rageant, mais on ne doute pas”

Du déjà (trop) vu pour le Standard : “Rageant, mais on ne doute pas”

Arnaud Bodart a été réduit au chômage technique pour un premier Clasico à domicile. Le jeune gardien, tout de même actif au niveau de la construction, a cependant dû se retourner une fois de plus alors que le Standard menait.

S’il ne faut pas oublier Rebecq, le Standard n’a plus signé de clean-sheet depuis fin octobre et sa victoire contre Waasland-Beveren. Lors de ce duel, Arnaud Bodart avait déjà réalisé une intervention déterminante sur la seule occasion adverse. Face à Anderlecht, il n’a jamais eu de ballon à négocier. Il s’est juste fait lober sur un centre dévié par Gavory.

“Et Roofe en a profité derrière. Sans cette déviation, je ne sais pas ce que ce ballon aurait donné. C’est rageant, c’est le même scénario de semaine en semaine”, regrette le gardien rouche.

On continue toujours de pousser

“Encore une fois, nous avions le match en mains, et ils égalisent sur une demi-occasion. Comme d’habitude, on s’est procuré énormément d’occasions sans concrétiser assez. Au lieu de reculer, on continue de pousser malgré notre avantage au marquoir et pour l’instant, on encaisse toujours derrière.”

Le problème est-il d’ordre mental? Depuis novembre, le Standard se fait toujours rejoindre dès qu’il ouvre le score (hormis Rebecq donc). “Peut-on douter? Non du tout, ce n’est pas comme si nous perdions ces rencontres. On commence bien, comme ce dimanche, on est bien en place et l’adversaire n’est pas dangereux. Ce serait juste bien de mettre une fois le deuxième rapidement pour être à l’abri.

Read more: https://www.walfoot.be/news/2019-12-16/du-deja-trop-vu-pour-le-standard–rageant-mais-on-ne-doute-pas#ixzz68FSFVJcY

3 thoughts on “Du déjà (trop) vu pour le Standard : “Rageant, mais on ne doute pas”

  1. On pourrait être tenté de dire qu’il faudrait laisser venir et mieux se protéger quand on mène au score mais on n’a pas les avants rapides pour jouer en contre. Encore un problème du recrutement

  2. ce n’est certainement pas une question de mental mais une question de gestion des efforts .on l’a bien vu hier lors des 20 dernieres minutes on ‘avait plus assez de jus pour prendre les bonnes décisions lors de nos nombreux débordements.

Laisser un commentaire

Top