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« À Sclessin plus qu’ailleurs, tout est décuplé au niveau des émotions »

Le Standard vit actuellement des jours difficiles. Actuellement 9e de Jupiler Pro League, les Rouches sortent d’une lourde défaite contre Courtrai (0-3) et poursuivent leur série de sept matches sans victoire. Ivan Vukomanovic s’exprime sur la crise actuelle au Standard.

Vukomanovic a aussi connu une crise virulente à Sclessin en 2014 lorsqu’il a du prendre la succession de Guy Luzon. « Nous venions de perdre 1-2 à domicile contre Zulte. Les supporters avaient envahi le terrain et le match avait été arrêté. Nous étions douzièmes au classement après onze journées avec seulement trois points d’avance sur la dernière place. La semaine suivante, on recevait Séville en Europa League (0-0) avant d’aller à Anderlecht (0-2). Niveau pression, on ne pouvait pas faire pire » raconte-t-il dans la DH.

Tu dois être capable de mourir sur le terrain – Ivan Vukomanovic

Ensuite, le coach actuel du Slovan Bratislava explique qu’au Standard, il faut savoir vivre avec la pression. « Quand tu arrives au Standard, tu sais où tu mets les pieds. À Sclessin plus qu’ailleurs, tout est décuplé au niveau des émotions. Si tu ne supportes pas la pression, tu dois jouer au snooker. Avant de porter le maillot du Standard, il faut savoir ce que cela implique. Tu dois être capable de mourir sur le terrain. C’était d’ailleurs, lors de mon passage, notre critère numéro un en terme de recrutement: des gars qui avaient la mentalité Standard. »

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Commentaires

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5 thoughts on “« À Sclessin plus qu’ailleurs, tout est décuplé au niveau des émotions »

  1. En foot, quand on est dans le trou, il faut revenir aux fondamentaux. Une bonne défense et du pressing. Avec Vuko, c'était pas du tout spectaculaire mais efficace. J'ai malheureusement l'impression que Janko a perdu le fil……..rouche !

    1. On se doutait que Ferrera n'etait pas la cause de tous les maux et donc que Jankovic ne serait pas le remède miracle.

      Une amélioration au debut etait le jeu plus offensif avec le centre avant moins isolé la présence de Belfodil aidant et Sa se révélant supérieur à Santini.

      Par contre apres un échec Ferrera savait reserrer les rangs.

      Malgré les renforts certains ne serait-ce que les deux précités, il y en a un qui n'a jamais été remplacé et dont je n'ai cessé de souligner l'importance à l'époque, c'est Yattabare.

  2. Exact Van Moer, Yattabare s'est trop vite BARRE ! Dire que, la 1ére fois qu'on l'a vu jouer, en tribune, j'ai entendu des commentaires acerbes autour de moi à son égard, tous se demandant ce que ce gros pataud était venu faire chez nous, alors que nous avions De Sart, selon les supporters qui m'entouraient, bien supérieur !. Comme quoi, parfois ….

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